La pratique du Taekwondo et du Hapkido implique non seulement un engagement physique mais également un intérêt pour la culture coréenne et plus largement pour l'univers des arts martiaux.
Vous trouverez ici quelques bonnes sources de découvertes et d'apprentissages.
LIVRES
Le guide du taekwondo
Rémi MOLLET
BUDO Editions - 2011
Hapkido : Art coréen d'autodéfense
Rémi MOLLET
Amphora - 2005
Histoire de la Corée : des origines à nos jours
Pascal Dayez-Burgeon
Tallandier - 2012
Roland HABERSETZER, Gabrielle HABERSETZER
Amphora - 2012
Chroniques martiales
Henry PLÉE
BUDO Editions - 2001
L'art sublime et ultime des points de vie
Fujita SAIKÔ - Henry PLÉE
BUDO Editions - 2003
Contes et récits des arts martiaux
Pascal FAULIO
Albin Michel, réédition 2000
Les entretiens de Confucius
Seuil - Point Sagesse, 2004
PANSORI
Le pansori (판소리 en hangul) est une forme d’art dramatique musical exécutée par un chanteur accompagné d’un tambour. Cette tradition populaire, qui se
distingue par son chant expressif, son discours stylisé, son répertoire de récits et sa gestuelle, embrasse à la fois la culture des élites et celle du peuple.
Accompagné d’un seul tambour, le chanteur (homme ou femme) improvise, parfois huit heures durant, sur des textes mêlant expressions littéraires érudites et dialecte rural.
Menacé de disparition dans le contexte de modernisation accélérée que connaît la Corée, le pansori a été proclamé « Bien culturel immatériel national » en 1964. Cette mesure a suscité un soutien institutionnel généreux qui a permis le renouveau de la tradition. Si le pansori reste l’un des genres préférés parmi les arts traditionnels du spectacle, il a perdu beaucoup de son caractère spontané originel. Comble de l’ironie, cette évolution récente est la conséquence directe des efforts de conservation, l’improvisation tendant à être reléguée au second plan avec l’essor du répertoire écrit. En fait, peu de chanteurs sont encore capables d’improviser et le public est moins sensible à la créativité spontanée et à la langue du pansori traditionnel.
Source UNESCO
GASTRONOMIE
La Corée est un pays reconnu pour la variété et la qualité de sa cuisine. Ses grands classiques ne sauraient éclipser un répertoire à la gloire du goût sous toutes ses formes et sous tous les modes de préparation. Cette cuisine se distingue de celles des pays voisins, notamment le Japon et la Chine, cependant on retrouve des parfums assez proches dans la cuisine de la province pourtant relativement éloignée de Hubei, en Chine. La cuisine coréenne utilise beaucoup de piment (notamment dans le kimchi (김치) ou avec le kochujang (고추장), le sésame, sous forme d'huile et de graines y est une quasi constante, et l'ail, ainsi qu'une grande variété de légumes, fruits de mer, légumes sauvages etc. Il existe des différences selon les régions de la péninsule dans la gastronomie coréenne, mais en général la cuisine des régions situées plus au nord est moins épicée que celle des régions situées au sud, notamment en ce qui concerne le kimchi.
Tous les plats et accompagnements se partagent sur la table, le convive disposant généralement d'un bol de riz et d'un autre de soupe « privatifs » pour pouvoir picorer à loisir. Le plat principal peut être servi de façon individuelle et certains repas peuvent même suivre un enchaînement gastronomique plus classique mais l'avantage est de pouvoir alterner les goûts de façon libre et souvent créative.
Source Wikipédia
Adresses de restaurants coréens à Paris
Han Lim
6 Rue Blainville, 75005 Paris
Téléphone :01 43 54 62 74
Kim & Kim
15 Rue Chevreul, 75011 Paris
Ossek Garden
14 Rue Rampon, 75011 Paris
Téléphone :01 48 07 16 35